ZEH TOV, ZEH TOV |
C'est bon, c'est bon | Zeh Tov, Zeh Tov | |
C’est bon, c’est bon
Si un jour, tu vois que je suis triste, Des larmes sur mon cil et ma joue mouillée, Je t’en prie, apporte-moi un lys, un lys rouge du jardin Ouvre-moi tes bras et aménage-moi un abri sûr Dans lequel je voudrai revenir et rire. J’y reviendrai, oui, comme j’y reviendrai ! C’est bon, c’est bon, C’est bon pour moi, pour elle, pour lui, Pour tout le monde, S’il sait aimer, Avec lui et à cause de lui, tout en moi lui appartient, S’il sait aimer, C’est bon, c’est bon. De même si les cieux de l’amour s’obscurcissent, Que viennent les nuages, que la flamme s’éteigne, Je regarderai dans le miroir, je me regarderai dans les deux yeux, Soudain, de là, un visage différent me regardera, Je me dis à moi-même ; « Hé, ma belle ! Ouvre une deuxième fois ton cœur à l’amour ! » C’est bon, c’est bon… Combien de beaux jours passent en vain, Quand un jour passe ainsi, jamais il ne revient, Rien que toi seul sait apporter Un peu de calme à ce qui est orageux, la sérénité dans mon cœur. Alors viens vite, pourquoi attends-tu ? Traverse tout de suite la frontière des regards. C’est bon, c’est bon… |
Zeh tov Zeh tov
Im yom echad tireni atzuvah ve'al risai dma'ot velechi retuvah have na li shoshan, shoshan adom migan uf'tach li shtei zro'ot uv'neh makom mugan shebo er'tzeh me'od lashuv ulechayech ani avo lesham, avo'ah ve'od eich Zeh tov, zeh tov zeh tov li, lah velo la'olam kulo im hu yode'a le'ehov ito uvig'lalo kuli shelo halo im hu yode'a le'ehov zeh tov, zeh tov Im gam hik'diru shmei ha'ahavah uva'u ananim, kavtah halehavah abitah bamar'e/a, bishtei einai abit pit'om panim shonim misham yabitu bi ani omeret le'atzmi hey tovah pitchi libech shenit bif'nei ha'ahavah Zeh tov, zeh tov... Kamah yamim yafim ovrim lashav k'sheyom kazeh over yoter eineno shav verak atah bil'vad yode'a lehavi k'tzat sheket laso'er, shalvah el toch libi az bo maher, lemah atah mam'tin avor miyad et g'vul hamabatim Zeh tov, zeh tov... | |
Texte : Elioz Rabin - Musique : Roni Weiss - Chorégraphie : Oren Ashkenazi - 2005. |